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Route Koudougou-Dédougou: Le chantier de la nationale 14 a repris de plus bel


Le vrombissement des engins a effectivement repris, au petit matin du samedi 1er octobre 2011sur l’axe Koudougou-Dédougou. EBOMAF signe son retour fracassant sur le chantier qu’il a entamé en octobre 2010 après une suspension officielle intervenue en août 2011 à cause de la saison des pluies. Cet arrêt momentané que des individus mal informés ou mal intentionnés ont voulu interprété comme un abandon de l’ouvrage s’inscrit dans la planification normale des travaux reconnue par l’autorité compétente.

«Toute suspension de travaux de génie civil de cette envergure est techniquement argumentée et admise par l’ensemble des parties prenantes (maître d’ouvrage, mission de contrôle, entreprise adjudicataire). Un document officiel est délivré et précise les dates de fermeture du chantier et sa reprise. Il y a un délai à respecter et cela est de rigueur. Donc rien n’est fait au hasard », soutient l’ingénieur des travaux.

 

. Après que la fermeture des vannes du ciel, l’entreprise a redéployé ses machines et ses installations pour accélérer l’exécution de ce projet si attendu par le gouvernement, les populations des régions du Centre-Ouest et de la Boucle du Mouhoun, les partenaires au développement. En ce sens que le tronçon Koudougou-Dédougou représente la route nationale 14, celle pour accéder au grenier national. Suite à la fin du bitumage de l’axe Bobo-Dioulasso-Dédougou, celui reliant la capitale du pays bwa à la capitale, Ouagadougou, via Koudougou constitue pour le gouvernement un nouveau challenge à gagner coûte que coûte. Prenant toute la mesure de cet enjeu, EBOMAF reconnue pour sa position de leader dans son domaine d’activités accompagne activement ce projet.

 

Son action dans la mise en œuvre de l’aménagement et la construction de la route Koudougou-Dédougou est remarquable. «Koudougou-Dédougou est d’abord un challenge à moi», a si bien indiqué le Président Mahamadou Bonkoungou lors de la visite du chantier, vendredi 10 juin 2011 par le chef du gouvernement, Beyon Luc Adolphe Tiao. Au regard des moyens financiers, matériels et humains qui s’expriment sur le chantier, l’espoir est permis de voir une route moderne aux normes internationales prendre la place du tronçon très défectueux au terme d’un délai de trente (30) mois de travaux.

 

Les va-et-vient des camions, machines et autres engins de l’entreprise, après ces deux mois de silence imposés par les pluies, sont accueillis avec joie par les populations. Bien avant cette halte, la distance concernée de cent-trente (130) kilomètres a bien connu une évolution certaine dans son aménagement et sa construction. La physionomie de la voie se laisse admirer et certains ouvrages enregistrent une avancée considérable. Les infrastructures prévues dans les agglomérations traversées ainsi que les ouvrages d’art se dessinent au grand bonheur des usagers et des riverains.

 

C’est une réalité plausible de la bonne exécution du projet à travers les ouvrages d’assainissement dans la ville de Dédougou et le fameux pont sur le fleuve Mouhoun. Sous l’œil vigilant des ingénieurs, des techniciens, des chefs de travaux et des ouvriers, le processus est relancé de plus bel avec en ligne de mire l’exigence de se soumettre au timing. La forme de la voie, le terrassement, la couche de base, la couche de fondation sont les étapes actuelles pour entamer dans les plus brefs délais le grave non traité (GNT) et le bitume. Les entraves liées aux matériaux, à cause des forêts classées situées dans les deux régions concernées qui interdisent tout prélèvement d’agrégats, sont surmontées grâce aux capacités organisationnelles et matérielles de l’entreprise. Celle-ci se réfère à Kombissiri, trente (30) kilomètres de Ouagadougou ou à Bobo-Dioulasso pour s’en approvisionner. Une accélération est attendue dans le bitumage d’une soixantaine de kilomètres.

 

Eugène PATOIN       

 

 

 

 

 

 

 




4 thoughts on “Route Koudougou-Dédougou: Le chantier de la nationale 14 a repris de plus bel

  1. Benfa DIAKITE

    Vié est un vrai battant et tout Dédougou le sait. Qu’on le veuille ou pas, il va relever le défi de cette route Koudougou-Dédougou. Ceux qui ont passé le temps à mentir que Vié a fui n’ont qu’à venir parler maintenant. La réalité est là devant nous. Le travail bat son plein et la voie se trace normalement. Seul Dieu sait recompenser les hommes honnêtes. Et pour ce que Vié a fait pour Dédougou, Dieu ne va pas le laisser tomber. Inchallah!

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    1. Tuthill

      TANKIEN VINCENT DE PAUL, enseignant de lyce9es et colle8ges e0 De9dougou dit :Merci pdg pour cet emgngeaent. Nous savons que vous eates un homme de parole et vous allez gagner ce challenge avec tous les honneurs de la nation. Je suis vraiment content du travail qui a e9te9 de9je0 abattu. Et j’ai foi au reste du boulot. Courage. Que Dieu be9nisse vos activite9s. TANKIEN VINCENT DE PAUL, enseignant de lyce9es et colle8ges e0 De9dougou

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      1. Laraib

        dit :Assimbi Joachim, Sociologue du taarvil dit :Seul le taarvil libe8re l’homme. Les dirigeants africains ont inte9reat e0 inte9grer cette ve9rite9 vraie dans leurs politiques de de9veloppement. Si des milliers de ressortissants du continent notamment les jeunes fuient leur pays au pe9ril de la vie pour d’autres horizons, c’est que le climat du taarvil en Afrique offre tre8s peu d’opportunite9s et de possibilite9s d’insertion. L’exemple de cette entreprise relate9 ici est e9mouvant. EBOMAF rend un sacre9 service aux Etats qui lui ont confie9 des travaux en ce sens que dans l’exe9cution des chantiers, elle lutte contre le chf4mage qui est en fait le pie8ge de tous les dangers, les troubles dans nos pays. Un emploi est une source de libe9ration, d’inde9pendance, de liberte9, de promotion. Une embauche permet de se re9aliser et de compter dans la socie9te9. Il ne suffit pas de construire des infrastructures mais que leur de9veloppement ge9ne8re un environnement de cre9ation et de partage de richesses au sein de la population, c’est cela l’essentiel. Il faut responsabiliser et retablir les entreprises africaines dans leur rf4le de catalyseur du progre8s e9conomique et social. Puisse cette dynamique qui semble guider le PDG de EBOMAF inspirer plusieurs de ses camarades. L’Afrique ne trouvera ve9ritablement le chemin du de9veloppement que si ses pays sont dote9s d’e9quipements modernes en meame temps que ses filles et fils disposent du minimum vital pour survivre. C’est formidable de savoir que sur les chantiers de EBOMAF des Burkinabe8, des Be9ninois, des Maliens, des Togolais, des Se9ne9galais, des ivoiriens, des Ghane9ens et des Occidentaux se cf4toient dans un esprit d’inte9gration pour gagner honneatement leur pain. C’est l’image d’une Afrique nouvelle unie par le taarvil. Que EBOMAF persiste donc dans cette de9marche pour construire une entreprise ve9ritablement panafricaine. ASSIMBI Joachim, Groupe d’e9tudes et recherche-action sur le taarvil du de9veloppement

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    2. Fabiolaeflavio

      Un chauffeur de EDBAF dit :Vraiment pdg, on est tcnoent de toi. Tout le monde disait que tu a abandone9 la route et te revoila. Actuelemen, nous on soufre de deviae7ion mais on sai que ce sera pour notre bien plu tar. Courage, on te soutien. Si route le0 es reste9 depui inde9pandance sans goudron, c’es pa mintenan que y a travail dee7u qu’on va se plindre. On na ka laisse9 ebomaf faire route le0 trankilement

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