Depuis un certains temps, l’Entreprise Bonkoungou Mahamadou et Fils (EBOMAF) fait l’objet de divers procès d’intention dans les médias. Des attaques voilées visent à semer le doute sur sa participation effective aux avis d’appels d’offres. Elles entretiennent sans cesse une polémique tendant à faire croire que cette société intervenant dans les travaux publics (TP) bénéficie des appuis qui lui permettent de rafler la plupart des marchés publics. De telles allégations ne peuvent qu’être des armes de concurrents qui n’ont vraiment pas les moyens techniques et humains nécessaires pour s’affirmer et s’imposer dans un domaine aussi exigeant comme celui des BTP.
En effet, il est indéniable que le secteur des travaux publics connaît un essor considérable ces dernières années au Burkina Faso. La libéralisation de ce marché et plus particulièrement son ouverture aux petites et moyennes entreprises (PME) nationales ont permis à des opérateurs économiques locaux de saisir cette chance pour briser un certain monopole sans nom dont jouissaient jusque là des entreprises bien connues. Bien que l’on ne peut aussi nier l’arrivée de sociétés aventurières attirées par la seule manne très juteuse sans en avoir les capacités requises pour exécuter les travaux.
EBOMAF fait partie des entreprises burkinabè qui ont compris qu’elles ne peuvent s’exprimer sur les chantiers du pays et au-delà des frontières qu’à travers la qualité des ouvrages réalisés par un personnel aguerri disposant de matériels ultra modernes dans le secteur des BTP. Ce souci a guidé l’Entreprise Bonkoungou Mahamadou et Fils (EBOMAF) dans son plan de croissance si bien qu’au jour d’aujourd’hui, elle est l’une des rares sociétés à bénéficier de tout ce qu’il faut pour construire une route. A dire vrai, en dehors des matériaux et consommables de construction que EBOMAF paie dans le cadre de l’exécution de ses marchés, elle n’a recours à aucun appui matériel et technique externe.
En témoigne la réalisation récente des Voiries et réseaux divers (VRD) qui ne cesse de séduire Burkinabè et visiteurs étrangers. La notoriété affichée de EBOMAF effraie certains de ses concurrents au point qu’ils cherchent un pou sur un crâne rasé. Les anciens bénéficiaires de monopole sont fortement bousculés dans leur leadership et les sociétés aventurières portent sur elle des tirs groupés. Ces entreprises en manque d’arguments sur le terrain de la compétition entretiennent des contrevérités sur les attributions de marchés quand elles ne sont pas retenues. « Le mensonge a beau courir, la vérité finit par le rattraper ».
Les travaux de Fada N’Gourma ont fait l’objet d’un appel d’offres ouvert et ceux de Ouahigouya, l’objet d’une consultation restreinte auxquels plusieurs entreprises ont pris part (Cf. fiches d’appels d’offres). Où sont donc les gré-à-gré ? Si EBOMAF a été retenue, c’est parce qu’elle a présenté des offres techniquement bonnes et financièrement raisonnables. Certaines entreprises se sont montrées très gourmandes et les sociétés aventurières incapables techniquement de réaliser les ouvrages. C’est donc aberrant, voire mensonger d’insinuer que EBOMAF bénéficie de protection qui lui permet de remporter des appels d’offres sans passer par les procédures normales des marchés publics. La réussite dans ce milieu si exigeant requiert une capacité financière indiscutable, des compétences humaines, matérielles et techniques reconnues pour prendre le dessus sur ses concurrents.
Aucun Burkinabé sincère ne peut aujourd’hui renier le fait que EBOMAF dispose aujourd’hui des moyens logistiques et humains à la pointe et des banques partenaires nécessaires pour construire tout ouvrage de travaux publics et de les achever dans les délais.
Le chiffre d’affaires de notre entreprise ne vaut pas celui de certaines de ces concurrentes qui pourfendent aujourd’hui de mensonge sur son dos. Plusieurs exemples existent cependant où des entreprises ont été adjudicatrices de marchés dont le montant total de l’un seulement dépasse l’ensemble des marchés annuels de EBOMAF. Ceux qui ont longtemps bénéficié du quasi-monopole des travaux publics au Burkina Faso l’ont été pendant combien de temps sans que personne ne s’en émeuve ? Les réponses à ces questions permettront aux uns et aux autres de comprendre que EBOMAF n’est ni ce dinosaure ni le chouchou des attributions des marchés publics que ses concurrents veulent faire croire.
En réalités, les plaignants sont ceux qui sont en perte de vitesse et qui ont choisi la voie médiatique pour nuire à notre réputation. Ces acharnements médiatiques sur les marchés publics attribués à notre société ne sont rien d’autre qu’une publicité déstabilisatrice dans le but de nuire à EBOMAF, tout comme les précédentes qui ont eu à supposer son PDG a été évacué en Europe dans un état comateux, etc. Aux contribuables d’apprécier si EBOMAF fait bien son travail ou pas ?
Le chargé de Communication
Dans L’Indépendant du Lundi 14 septembre 2009