EBOMAF ne cesse de conforter son leadership au Bénin. Le nouveau marché qu’il s’est vu attribuer par le gouvernement du Président Patrice Talon en sa séance de conseil des ministres du samedi 5 novembre dernier en est une parfaite illustration. C’est la reconnaissance du travail de qualité abattu depuis quelques années pour moderniser les infrastructures routières béninoises.

La réhabilitation du tronçon Djougou-Bassila-Savalou-Dassa avec les bretelles Bassila-Manigri-Kpèrèkètè et Bassila-frontière du Togo revient à EBOMAF. Cet important projet routier d’environ trois cents (300) kilomètres porte sur un financement de l’ordre de cent soixante-seize (176) milliards F CFA.  Ce contrat, obtenu au Bénin sous le nouveau régime de Patrice Talon, témoigne de la vitalité du partenariat gagnant-gagnant établi entre Etat et le Bénin ainsi que de la preuve d’une expertise dans le BTP.

Après avoir mis en oeuvre avec brio, le projet de modernisation du tronçon Bodjécali-Madécali-Iloua-Frontière du Nigéria, la société de Mahamadou Bonkoungou exprime actuellement d’un savoir-faire sur les chantiers suivants: Parakou-Wèwè, Comè-Lokossa-Dogbo, Ouégbo-Toffo, Tangbo-Zè, Missessinto-Zè, Hévié-Calavi, Djougou-Pehunco-Kérou-Banikoara et la bretelle Péhunco-Kouandé-Cota.

Le maillage du BTP béninois par EBOMAF est une réalité sur le territoire national. Les travaux essaiment diverses localités du Nord au Sud. Certains comme Parakou-Wèwè, Ouégbo-Toffo/Tangbo-Zè ont entamé le dernier virage de leur finition. Dautres à l’image de Comè-Lokossa-Dogbo connaissent une vitesse de croisière. D’autres encore comme Missessinto-Zè/Hévié-Calavi, Djougou-Pehunco-Kérou-Banikoara et la bretelle Péhunco-Kouandé-Cota ont entrepris leur démarrage. Les différentes bases vies illustrent de réelles capacités humaines, matérielles et techniques  pour mener à bien ces projets routiers d’envergure aussi bien sur le plan de la qualité que dans les délais impartis.

JE/AB