La responsabilité sociale de l’entreprise (RSE) est un concept au cœur des activités du Groupe EBOMAF. Elle fonde aussi sa présence au Togo où une trentaine d’étudiants regroupée au sein de l’association des jeunes pour la production et la recherche (AJPR) a reçu, le 1er février 2011 un soutien conséquent. Pour leur autopromotion à travers des actions génératrices de revenus, ils ont reçu une coquette somme de un million (1 000 000) F CFA pour lancer des microprojets. C’est un premier pas vers un partenariat fructueux.
Les étudiants de l’université de Lomé au Togo ne cessent de louer cette main bienfaitrice du Président du Groupe EBOMAF. Leur initiative de mener des activités lucratives afin de financer sereinement leurs études supérieures a trouvé une oreille attentive, le 2 février 2011, auprès du géant BTP. Regroupés au sein de l’association des jeunes pour la production et la recherche (AJPR), ils bénéficient aussi des retombées de cette installation dans leur pays. En plus de participer activement au développement et aux milliers d’emplois créés, l’entreprise affiche sa forte présence sur le plan social. Son assistance est remarquable pour soulager les couches défavorisées ou pour accompagner d’autres petits poucets dans sur le chemin de l’entreprenariat.
L’AJPR et sa trentaine de membres mesurent la grandeur de l’âme qui fonde EBOMAF. Son PDG n’a pas hésité un seul instant à adhérer à leur projet. Cette association, apolitique, formée de jeunes étudiants, s’essaient dans la création de petits emplois afin de se prendre suffisamment en charge. Cette volonté de vaincre coûte que coûte l’adversité n’a pas laissé le Patron du leader des BTP indifférent. Il a gracieusement offert à l’association la rondelette somme de un (1) million (1 000 000) F CFA pour entreprendre. Cette dotation paraît aujourd’hui une véritable bouffée d’oxygène pour atténuer les effets pervers du chômage. Les apprenants entrepreneurs se lancent dans l’exploitation d’une affaire dans un secteur d’activités en pleine croissance : le rafraîchissement, la restauration, les loisirs. Ils ont ouvert un bar dénommé «6tème» à Attikoumé face à Escale3. En un seul lieu, ces jeunes portés par les épaules de EBOMAF entretiennent une buvette, un restaurant et une salle de téléfoot. «Il n y a pas de sot métier mais de sottes gens», soutient Olivier L. Kézié, le président de l’AJPR.
La somme allouée par le PDG a permis d’aménager une terrasse, d’acheter du matériel de sonorisation, d’ouvrir un local pour les matchs des championnats européens. Déjà, les fruits de cette micro-entreprise est perceptible. Les recettes de ces différentes entités arrivent à survenir à survenir aux besoins d’exploitation : location, eau, électricité. C’est un gain palpable dans la situation socioéconomique de ces étudiants. Le concours du Président de EBOMAF s’inscrit dans une dynamique d’appui-conseils. Celui apparaît comme un parrain qui ne déroge pas à son rôle de mentor. C’est ainsi que suite aux dernières pluies, il a été sollicité par ses filleuls pour débarrasser le «siège» de leur entreprise de la marre qui avait commencé par rendre sa fréquentation désagréable. Séance tenante, des camions-bennes remplis de sable s’y sont déportés pour remblayer et effacer ces grandes flaques d’eau qui empêche les clients d’accéder au bar «6tème».
Cela a été encore un souffle nouveau pour les affaires des étudiants. Cette bienveillance est toujours aux lèvres des bienfaiteurs qui ont promis dans leurs occupations lucratives parallèles de «porter haut le nom de EBOMAF» sur le toit de la ville Lomé. Dans leur Quartier Général à Attikoumé, ils se remémorent les sages conseils du donateur, homme d’affaires averti qui a bâti sa notoriété comme un oiseau s’attèle à son nid: «La vie est un combat et chaque coup de pouce doit être un tremplin pour changer sa situation. Et vous êtes un exemple parce que vous avez tourné le dos à la facilité pour mériter une vie meilleure à la sueur de vos fronts. Il est donc important que vous utilisiez ce soutien dans le sens d’améliorer continuellement vos conditions de vie de sorte à ce que cela produise des actions pérennes et fortement rémunérées. Persévérez dans ce sens». A l’unanimité, les membres de l’AJPR se sont engagés à faire honneur à leur parrain par un bon usage de la somme mise à leur disposition.