La nouvelle année s’annonce vraiment sous de bons auspices avec le bel élan de désenclavement actuel de toute la Boucle du Mouhoun. La liaison entre la capitale, Ouagadougou et son chef-lieu, Dédougou via Koudougou, a, plus que jamais, atteint son point culminant. Sous la doigté civilement géniale de EBOMAF, la Route nationale 14, dont il s’agit, effectue sa dernière mue pour se classer au rang des voies du pays les mieux praticables et en toute sureté.
Aussitôt, les trois (3) grands ponts (Ténado, Mouhoun, Karouka) terminés, aussitôt une chaussée fin prête se déroule à pas de géant à partir de la cité du Bankuy. L’axe Dédougou-Koudougou est déjà moderne (bitume, gravillonnage, bicouche) sur plus d’une dizaine de kilomètres. Répondant ainsi aux normes et standards internationaux dignes d’une infrastructure routière à caractère sous régional. Cette prouesse réalisée en moins de neuf (9) mois sur le délai de trente (30) imparti au Projet va être bientôt portée à plus d’une vingtaine de kilomètres totalement prêts. Depuis le 20 décembre dernier, EBOMAF a pris de court tous les observateurs du secteur national des BTP. Elle a décidé de passer à la vitesse supérieure à la coloration des travaux.
La Boucle du Mouhoun applaudit cette œuvre salutaire pour son progrès. La cité du Bankuy salue l’exploit entrepreneurial d’un de ses ressortissants. Le Père Noël pourrait bien porter le nom de «EBOMAF» et le cadeau tenu dans ses bras «la route Koudougou-Dédougou ». Cinq (5) jours avant la fête de la Nativité, soit le mardi 20 décembre, la bataille du bitumage a été définitivement engagée sur ce tronçon. «Pour nous qui empruntons régulièrement cette voie, c’est un véritable exploit que l’entreprise a accompli avec les récentes accélérations sur le chantier. Tout est mis en œuvre pour aboutir dans les meilleurs délais à un travail vite fait et bien fait », confie, très ravi, Joubert Evra, Responsable dune ONG basée à Nouna dans la province de la Kossi. A l’instar de cette entité administrativement dépendante de Dédougou, le Nayala, le Sourou, les Balé partagent également ce bon vent routier.
Dès mercredi 21 décembre, le combat du désenclavement régional à partir de cet axe a enregistré un grand bond : le gravillonnage et la bicouche sur une distance estimée à une dizaine de kilomètres. Les ingénieurs promettent de doubler cette longueur avant le samedi 31 décembre prochain. «Il n’y a aucun doute en ce qui concerne l’atteinte de ce cap. Tous les objectifs temporels du chantier, définis au départ, sont maintenus sans crainte. Les activités diversement menées en ce moment sur le tronçon concourent à enregistrer un meilleur taux de réalisation avant d’aller à la fête», rassure le Conducteur des travaux. Au fur et à mesure que les derniers jours de 2011 s’égrainent, les lueurs d’espoirs de 2012 pointent à l’horizon avec la conclusion progressive de la RN 14 qui s’en va donc, en se renforçant. «Comme une coïncidence, le nouvel an créé un tremplin du développement et apporte une nouvelle voie à notre localité», se réjouit Sita Dayo, fonctionnaire de l’Education à Dédougou.
Plus que la manne du ciel, une source de décollage
Le processus de bitumage effectif de la voie est intervenu au moment au moment où les bénéficiaires se l’attendaient le moins. Ils sont aujourd’hui comblés d’une surprise agréable dont certains la vivent consciemment avec un goût de vinaigre pour avoir douté de ce gain en termes de temps. Ensemble, toute la région concernée et son chef-lieu pouffent de joie devant le beau virage amorcé ces temps-ci par le «Projet d’aménagement et de construction de la Route nationale 14 (Koudougou-Dédougou)» d’une longueur de cent-trente (130) kilomètres. Autorités administratives, politiques et religieuses ainsi que des dirigeants de la société civile, des habitants de ce ressort territorial, des représentants de couches socioprofessionnelles, des usagers et des transporteurs ne sont pas indifférents à cette évolution spectaculairement remarquable. Ils l’ont manifesté par des déplacements massifs et réguliers sur le site de ce point d’orgue unanime. D’ailleurs, c’est un tremplin qui contribue grandement à redorer aussi l’image de la ville de Dédougou qui, en plus des ouvrages d’assainissement (caniveaux notamment), bénéficie là d’une grande artère entièrement bitumée. Reconnaissance de la hardiesse de la tâche abattue, adhésion à la pertinence du timing adopté par EBOMAF, renouvellement du soutien des populations, … sont donc autant de réconforts apportés à l’entreprise et à ses travailleurs pour mieux les galvaniser à appréhender sereinement la suite de l’ouvrage.
Le PDG de EBOMAF, Mahamadou Bonkoungou est en train d’écrire l’une des plus belles pages du désenclavement de cette partie du Burkina Faso. Ses compatriotes, qui ont très tôt minimisé la force de frappe de son entreprise à réussir un tel challenge, se sont maintenant résolus à se plier face au dynamisme, au professionnalisme et à l’entrain imprimés à un chantier dont il a la conduite depuis octobre 2010 seulement. «En quelques mois, les acquis engrangés dans les travaux sont énormes. L’adjudication du marché bénéficie de réels atouts matériels et humains lui donnant une véritable longueur d’avance sur tous les aspects de l’ouvrage quelles que soient leurs ampleurs ou leurs difficultés », souligne-t-on à la Direction Générale des Routes du Ministère des Infrastructures et du Désenclavement.
Même si la RN 14 est loin de représenter le plus grand chantier de travaux publics brillamment exécuté par EBOMAF, il n’en demeure pas moins que ce marché apparaît comme un grand défi auquel Mahamadou Bonkoungou s’est personnellement lancé pour le relever fièrement devant les autres acteurs du génie civil, ses corégionnaires de la Boucle du Mouhoun et l’ensemble de ses compatriotes. 2012 s’ouvre sur les délices de rouler agréablement à partir de Dédougou sur une vingtaine de kilomètres de goudron avant d’emprunter une bifurcation pour les causes de la bonne marche du chantier. Cette tranche significative du Projet glanée en moins d’une année utile s’ajoute à la réalisation complète des ouvrages d’art pour établir désormais entre les bénéficiaires du Projet RN 14 et EBOMAF un climat de confiance et de respect fondé sur un partenariat franc. Elle confirme, encore une fois, la réputation et la notoriété d’une entreprise dont le leadership est incontesté dans son domaine d’activités.
J.E
C’est la grande joie à Dédougou. Les deux grandes rues bitumées qui sortent de la ville en direction de Bobo-Diouulsso et de Koudougou ont foncièrement amélioré l’image de la cité de Bankuy. Avant même de bitumer cette voie qui va vers Ouagadougou, les caniveaux ont donné un sens à l’amélioration du cadre de vie. En tant qu’élu municipal de la localité, je propose en tant qu’une reconnaissance régionale soit attribuée à EBOMAF par le conseil régional et la commune de Dédougou. Cela n’a rien d’une proposition politicienne mais une façon de donner plus de baume à son PDG pour nous enlever cette épine de l’enclavement au pied de la Boucle du Mouhoun. L’homme se bat et mérite notre encouragement à tous pour aller si vite. Les recents travaux sont autant de démonstration.
Je n’arrive pas bien e0 saisir en quoi cela iaprrout changer quelque chose. Tout ce que l’c9glise peut dire qui soit contre la vague moderniste, lui vaudrait les pires critiques, meame si elle avit choisit Me8re Teresa comme directeur de sa com.Qu’elle publie ces deux updates se9pare9ment, ne changera franchement pas la donne: rappelez-vous que parmi ceux qui la critiquent, il y en a qui sont fins connaisseurs, d’autres allant meame e0 e9tudier toute la the9ologie chre9tienne et l’administration vaticane dans le seul but de la descendre. Ils sont bien plus motive9s meame si le Vatican se mettait e0 arrondir les angles.Sur ce, je ne pense pas que le Vatican devrait compromettre son message dans le but de ne pas fe2cher, meame si tous les hommes e9taient des idiots. Je crois qu’ils ont conscience de ce qu’ils ont e9crit et de comment ils l’ont e9crit mais que tout simplement ils en ont marre de faire attention. Et d’ailleurs, c’est la bonne attitude e0 adopter. Le oui et le non du Christ e9tait sans condition des glaives terriblement afffbte9s. L’c9glise devrait lui emboeeter le pas, donnant ainsi l’exemple et le courage e0 la plupart de ces catholiques ( dont parfois, malgre9 moi, je fais partis) qui ne s’expriment jamais librement sur certains sujets drf4lement qualifie9s de sensibles , de peur de ringardise ou de fe2cher la beate moderne.Si vous eates catholiques, vous eates contre le divorce, contre les viols contre l’ordination des femmes, mais alors soyez contre e0 100% et sans degre9 (le matin le soir, e0 midi, chez vous, au boulot ou en boeete). Si vous eates catholiques, vous aimez les pe9cheurs, mais alors aimez les e0 100%. Si vous prenez au se9rieux les sacrement comme une The9re8se Neumann, vous pouvez de9couvrir l’horreur de les blasphe9mer mais aussi de les prendre e0 la le9ge8re. c7a peut paraeetre ide9aliste ou trop the9orique pour eatre ve9cu, mais bon e7a ne devrait pas enfin pour les catholiques du moins.