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Centrales d’enrobé: Les clefs de l’efficacité et l’excellence


Il n’y a pas une route que EBOMAF ne peut pas aujourd’hui aménager et construire quelles que soient les normes qui ont été définies. Que ce soit sur ses bases du Togo que celles du Burkina Faso, une installation saute à l’œil par sa taille et ses périphéries : la centrale d’enrobé. Sur les chantiers de l’entreprise, le bitume ne se prépare pas honteusement dans des fûts avec du bois de chauffe comme cela se laisse voir dans de nombreux pays africains. Cette étape capitale repose sur un processus qui obéit à toute une technologie de pointe. En attendant l’acquisition d’une troisième, les deux centres de fabrication de la grave bitume (GB) et du béton bitumineux (BB) donnent une longueur d’avance sur ses concurrents.

Un des symboles de la performance du Groupe EBOMAF réside sans nul doute sur ses investissements en matériel. Les engins et les installations (centrales d’enrobé ou à béton) jouent un rôle déterminant dans sa prise d’une grande longueur d’avance sur ses concurrents. La seule centrale d’enrobé installée dans le QG de EBOMAF dans la capitale togolaise apparaît comme le summum des investissements en équipement. Acquise à prix d’or à la bagatelle de quatre (4) milliards F CFA, elle s’impose parmi les technologies de pointe entrant dans la réussite des travaux routiers. «Quand nous étions encore ingénieurs stagiaires en France, il n’y avait pas plus de cinq (5) centrales comme celle-là dans tout l’hexagone», se souvient Jean-Louis Roche, Directeur Technique du Groupe EBOMAF. Après avoir contribué à mieux forger le prolongement du boulevard des Tensoba, cette unité participe grandement au printemps des infrastructures routières de la ville de Lomé.

De par sa taille et son occupation, c’est l’outil le plus précieux parmi les engins les plus importants de la Base, «Place Reinhard». Quand la centrale d’enrobé se met en marche, le site prend l’allure de toute une usine de production. Elle imprime le rythme du chantier et renseigne sur le niveau atteint. Elle est incontournable dans la fabrication de la grave-bitume (GB) et du béton bitumineux (BB). C’est un TSM 17 (Tambour, sécheur, malaxeur), placé sous le commandement de Rodrigue Sankima, l’opérateur. Il est composé d’un doseur qui reçoit les différents agrégats, de bandes transporteuses, d’un tambour, d’un parc alliant, d’un convoyeur à réglette et de différents silos de stockage de l’enrobé.

En fonction de la consistance du bitume chauffé à 150° et de la formule mise au point au laboratoire, la centrale produit selon les trois coupures d’agrégats (0/4 de sable, 4/6 et 6/10 de gravier), soit le GB soit le BB nécessaires au chantier. Le premier répond au processus de fabrication suivant : 0/6 de sable et 6/12, 12/20 de gravier mélangé au bitume. Tandis que le second rassemble 0/4 de sable et 4/6, 6/10 en plus du bitume. Dotée d’un automate et d’un système informatisé, la Centrale possède un centre de commande et trois (3) silos de soixante (60) tonnes chacun. Ce qui permet à l’opérateur de suivre, d’évaluer et de s’assurer du procédé adopté. Celle située dans la base de Lomé dispose d’une capacité de deux cents (200) tonnes à l’heure. « Selon la distance à couvrir de GB ou de BB, l’opérateur effectue sa programmation et quand tout est au moins, le processus se lance avec la quantité nécessaire à atteindre pour couvrir les besoins du chantier »,  explique Rodrigue Sankima, l’opérateur de la Centrale.

Dans son ambition de rendre chaque base autonome afin d’assurer une meilleure  conduite des travaux, EBOMAF a également positionné une autre centrale à Dapaong dans le Nord-Togo. Même si elle n’est pas aussi imposante comme celle de Lomé, il n’en demeure pas moins que cette fabrique d’enrobé atteint les mêmes objectifs d’efficacité et d’efficience. C’est aussi un TSM 17 possédant un seul silo sous-divisé en deux de trente (30) tonnes chacun. Elle a la même capacité de production que celle de Lomé. La centrale d’enrobé de Dapaong a sa particularité d’être mobile. Ce qui représente un avantage certain : elle peut être transporté partout où le besoin de GB et de BB est exprimé même dans l’urgence. «Il suffit seulement de rentrer les têtes et tout le reste peut-être tracté facilement sur n’importe quel point où il y a un chantier», indique Hamado Kourba, conducteur des travaux à Dapaong.

Après avoir fourni le BB pour la réhabilitation des voies de Kara, elle est entrée  en activité pour étaler le GB sur les trente-huit (38) kilomètres du tronçon Dapaong-Ponio-Frontière du Burkina Faso. Le chantier Koudougou-Dédougou s’apprête à accueillir une nouvelle centrale dont les capacités sont annoncées pour être plus grandes. Cette nouvelle acquisition va s’insérer dans le tremplin technico-matériel déjà en branle sur les tronçons à aménager et à construire au Burkina Faso et au Togo. Ces fabriques auréolent des pans réels du rayonnement de EBOMAF dans le paysage africain du BTP.

E.P./A.B.

 

 




2 thoughts on “Centrales d’enrobé: Les clefs de l’efficacité et l’excellence

  1. Francis OUEDRAOGO, Ingénieur de TP

    En tant qu’ingénieur de TP au service de l’Etat, la différence entre EBOMAF et les autres sociétés de génie civil, c’est sa foi à réussir coûte que coûte dans ce secteur. Les autres s’y sont engoufrés pour se faire du pognon, lui en a fait son activité principale en y mettant son coeur et son esprit. Reconnaissons que les debuts de EBOMAF a été difficile comme toute entreprise en construction. Mais son PDG a su tirer profit des insuffisances de sa société pour se donner les armes de la majorité. EBOMAF a grandi au fur et à mesure. Sa dotation matérielle et humaine s’est faite progressivement en fonction de l’ampleur des marchés contrairement à ses concurrents qui ont tout acheté en attendant des promesses de marchés. EBOMAF a aujourd’hui le matériel approprié, les ressources humaines qu’il faut, elle ne peut que se taper des marchés ailleurs parce qu’elle a les mêmes atouts que les entreprises occidentales ou multinationales. C’est ça que les patrons africains et burkinabé doivent comprendre: marcher petit à petit mais avec un regard haut. C’est là avoir une ambition et se nourrir d’une vision

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  2. Khaled

    Je suis ingénieur principale en électrique j’ai 8 ans à la domaine des centrales enrobé et béton j’ai effectué 10 formation en France chez Ermont je cherche un emploi

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