La Directrice Générale Adjoint (DGA) de EBOMAF, Alizèta Bonkoungou, a passé en revue du 17 au 19 décembre dernier le chantier Bodjecali-Madécali-Iloua-Frontière du Nigéria au Bénin. Les travaux présentent un taux d’avancement très satisfaisant.
Sur le front béninois, EBOMAF imprime sa marque d’expertise en toute sérénité. Le projet d’aménagement et de bitumage du tronçon Bodjecali-Madécali-Iloua-Frontière du Nigéria, dans la région de Malanville, s’exécute sans encombre. Les travaux affichent dans leur ensemble, une bonne physionomie. Sur quarante-deux (42) dalots, quarante-un (41) sont totalement achevés. Le terrassement avoisine les 30 % de d’avancement. La dernière inspection du chantier par la Directrice Générale Adjoint (DGA) de EBOMAF, Alizèta Bonkoungou a permis de constater une avancée notable de l’infrastructure et de lever les éventuelles entraves liées à la bonne exécution des différentes tâches.
Entourée d’ingénieurs et de techniciens, elle a touché du doigt les réalités de ce chantier. Selon le Directeur Technique de EBOMAF sur le front béninois, cette visite est la bienvenue car elle a permis de résoudre un tant soit peu, des problèmes auxquels l’évolution normale de ce chantier a été confrontée.
Malgré les difficultés rencontrées çà et là, un impressionnant matériel a été déployé sur le terrain et le chantier de Malanville avance vaille que vaille. «Le recadrage du dossier d’exécution, le retard du règlement de l’avance de démarrage, la mise en place tardive du bureau de contrôle, les difficultés liées au recrutement des manœuvre sur place, la saison des pluies sont autant de réalités qui ont quelque peu perturbé le dispositif élaboré pour accomplir convenablement les travaux.
A cause des intempéries, le chantier a été interrompu pendant environ deux mois », a expliqué, Edouard Dakuyo, le technicien d’ouvrages d’art. L’abnégation et l’ardeur au travail ont aidé à surmonter ces obstacles.
Les ouvrages et les blocs techniques sont aujourd’hui bouclés. Cela permis aux tâches de terrassement d’aller très vite et bien. Les premiers responsables du chantier estiment que les travaux pourront être clôturés en février 2014 si rien ne vient remettre en cause toutes les conditions d’exécution du projet. L’heure est en grande partie à la production des bordures et à la recherche des moellons pour les caniveaux. D’ores et déjà, le Conseiller d’arrondissement se réjouit de des efforts consentis par l’entreprise pour boucler le chantier dans les délais impartis. «Il y a un an, cette route en construction était très dangereuse. Dès l’ouverture du chantier, les différentes populations se sont, d’emblée, senties en sécurité grâce aux patrouilles de nuit comme de nuit. Désormais, les véhicules parcourent ce tronçon où jadis les motocyclistes faisaient la loi sur les pistes et les ruelles. Dans quelques mois, notre calvaire sera un lointain souvenir», a-t-il soutenu.
Soucieux de l’engagement du gouvernement béninois pour désenclaver cette partie de son territoire, le PDG de EBOMAF, Mahamadou Bonkoungou, s’est résolu à mettre les bouchées doubles pour booster les travaux sur Bodjecali-Madécali-Iloua-Frontière du Nigéria. En témoigne le déploiement humain et matériel qui s’est ébranlé depuis le Burkina Faso pour renforcer l’équipe en place au Bénin. La recycleuse, des niveleuses, des compacteurs à bille, des concasseurs primaires et secondaires ont déjà pris place sur le chantier. A cent kilomètres de là, plus précisément à Kandi, les responsable de la carrière s’activent au montage des machines de concassage du gravier destinées à la production du béton bitumineux (BB). Des jeunes, recrutés à cet effet, s’apprêtent à produire nuit et jour, au moment opportun, la quantité et la qualité d’agrégats dont le chantier a besoin pour lancer la dernière ligne droite des travaux.
AB/JE
Vraiment content de voir un Africain écrire les plus belles pages du développement de notre continent. L’Afrique aux Africains
Mr.Edouard Dakuyo je suis fièrre de vous pour la construction de notre voie butimée.
Mais je voudrais vous dit une chose qui ne va pas,les voleurs de votre chantier n’ont pas laisse de volé,malgré tout les enquêts que vous aviez mit,moi je les voirent tout les jours nuit comme journné et ça me touche,je dit ou sont toute ces enquêteurs que vous aviez placé.
Mr Edouard Dakuyo donner une chance de mettre la main sur eux si vous êtê dacores je suis à Malanville contacté moi sur le numero 66.09.42.90 bon carrière Mr.EDOUARD.
Mr.edouard dakuyo je aimerais être partrouille de votre chantier le ebomaf par rapport au voleur de votre gaz-oil parceque je les voient chaque en volan du gaz oil.
Mr.Edouard Dakuyo c’est pour vous aide parceque vous ne pouvez pas être partous pour le contre Mr.EDOUARD.