La bataille du pont de Cococodji est lancée. D’une portée de deux cent quarante (240) mètres, il canalise actuellement les efforts de l’entreprise. Le site d’implantation de cet impressionnant ouvrage de franchissement mobilise un pan important des équipements de EBOMAF en matière d’érection d’ouvrages d’art d’envergure.
Après la réalisation des fondations du pont de quinze (15) mètres linéaires dans l’arrondissement de Togba, l’équipe en charge des fondations profondes et des ouvrages d’art conduite par l’ingénieur des Ponts et Chaussées, Thierry Jaboulet, est actuellement déployée au PK 1,500 de l’axe Cococodji-Hèvié-Calavi-Kpota.Le matériel est entièrement déployé pour réussir ce type d’ouvrage particulier.
La technicité et l’expertise de l’entreprise y sont mises en exergue et forcent l’admiration. Après avoir fait montre de son efficacité à Togba, l’équipe commise à la tâche s’emploie activement à réaliser des fondations à grande profondeur. D’énormes pieux commencent à sortir de terre grâce à des engins de dernière génération. La methodologie de travail et l’ingéniosité autour de cet ouvrage ne cessent d’attirer l’attention de plus d’un et de convaincre du professionnalisme mis en branle au niveau pour bâtir ce pont de deux cent quarante (240) mètres linéaires.
L’équipe prévoit différentes étapes pour exécuter cette tâche. Il s’agit d’abord de réaliser la plateforme de travail dans le bas-fond et d’établir le remblais avant de sortir des pieux à proprement parler. Pour ce faire, une quantité énorme de matériaux a été disposer pour la stabilisation du bas-fond. Cette activité se poursuit avec en parallèle l’érection d’une centaine de pieux d’un diamètre minimum de 1,20 m en hautes profondeurs. Cette activité est exécutée concomitamment avec la réalisation de poutres pour la pose des prédalles en préfabriqués.
WM/JESP
C’est impressionnant.