EBOMAF est l’une des rares entreprises africaines à offrir un cadre de travail très propice à ses travailleurs. Ceux-ci bénéficient non seulement de moyens matériels et techniques adéquats pour accomplir leurs tâches mais aussi d’une attention particulière de la part du Président-Directeur Général (PDG), Mahamadou Bonkoungou. Au Burkina Faso, au Togo, au Bénin, en Guinée-Conakry, les employés ne sont pas indifférents de cette constante dans la culture du leadership de leur boss. Témoignages !
Souleymane Bikienga, Tâcheron : «Rares sont les entreprises de la sous région qui ont nos capacités»
«Depuis plus de vingt (20) ans, je travaille avec EBOMAF en tant que tâcheron. Dans la construction des routes, j’interviens dans les ouvrages d’assainissement tels les dalots et les caniveaux. Depuis que je suis à EBOMAF, je puis affirmer sans sourciller que cette société se distingue des autres par les meilleures conditions de travail qu’elle offre à ses travailleurs. EBOMAF est aussi une entreprise qui accorde une
importance capitale u respect de ses obligations sociales. Elle a toujours honoré les factures des prestataires (sous traitants) et les salaires de ses employés. Nous entretenons d’excellentes relations avec le PDG. Les tâcherons sont régulièrement payés avant même la fin du mois. En tant que l’un d’eux, j’emploie une cinquantaine de personnes dans ma section qui, à ce jour, a réalisé plus d’une centaine d’ouvrages au Togo. Le matériel de travail n’a jamais fait défaut à EBOMAF. Dès qu’un besoin matériel est exprimé, il est aussitôt satisfait. Rares sont les entreprises qui ont une telle capacité».
Moumouni Tao, Chef de brigade topographique: «EBOMAF a toujours tenu ses engagements»
«Mon arrivée au Togo coïncide avec l’implantation de EBOMAF en 2010 dans ce pays. En tant que responsable de la section topographique qui occupe environ une centaine de personnes, mes activités ont commencé avec la construction des grands ponts de Tanloaga (80 m) et de Dontougou (60 m). EBOMAF est aujourd’hui considérée comme une entreprise-leader dans le domaine du BTP parce qu’elle s’est toujours montrée meilleure à travers la qualité de ses travailleurs, ses capacités matérielles et techniques, ses ouvrages de belle facture. Cette société a toujours tenu ses engagements et répondu aux préoccupations de ses employés. La satisfaction morale, matérielle et technique est constamment au cœur de ses actions. Jusque-là, aucun problème n’a été enregistré dans l’exécution des travaux dans ce pays.
EBOMAF a construit de main de maître la route Dapaong-Ponio (Frontière du Burkina Faso) d’une quarantaine de kilomètres. Elle est sur le point d’achever le chantier Tandjouaré-Cinkanssé de soixante-cinq (65) kilomètres. Sur le projet routier Dapaong-Borgou-Mandouri, les travaux du premier lot, Dapaong-Borgou sont très avancés. Les huit (8) ouvrages que compte ce tronçon ont été réalisés à la satisfaction du maître d’ouvrage et des populations riveraines. Le second lot, Borgou-Mandouri, a été entamé avec la même détermination. Sur l’axe Kanté-Tanjouaré qui est un prolongement de Tandjouaré-Cinkanssé, la plupart des dalots sont déjà construits. Actuellement, nous sommes dans la ville Kara où nous effectuons le bitumage des rues et l’érection d’ouvrages d’assainissement. Les travaux connaissent une bonne progression. EBOMAF-TOGO, c’est environ deux mille (2 000) travailleurs et plus de mille cinq cents (1 500) engins de toute catégorie. L’entreprise participe aussi à la formation de plusieurs personnes dans le domaine du génie civil. Il n’y a meilleure façon de prendre part activement à la lutte contre la pauvreté dans un pays».
Alassane Kagambega, Chef terrassier: «Tous les moyens sont disponibles sur nos chantiers»
«Ma présence au sein de EBOMAF remonte à une douzaine d’années. C’est dans cette entreprise que j’ai tout appris. Il est arrivé un moment où j’ai été tenté et commis l’erreur d’aller ailleurs mais je suis vite revenu. Parce que les conditions de travail ailleurs ne convenaient pas aux tâches de terrassement à accomplir. Lorsqu’un employé de la section Terrassement est habitué à la méthode de travail de EBOMAF qui lui offre les meilleures conditions de travail, il lui est difficile d’exercer dans une autre entreprise. Car un bon terrassement requiert toute une gamme de matériels constituée de bennes, de chargeuses, de compacteurs, de pieds moutons, de rouleaux lisses, etc. Ces moyens sont disponibles en permanence à EBOMAF. Ce qui n’est pas le cas chez nos concurrentes. Nous sommes actuellement dans la ville de Kara pour accomplir une mission précise : aménager et construire des rues. Tout le matériel a été déployé pour que les employés se sentent à l’aise pour mieux réaliser les travaux dans les délais».
Abdoul Akim Moumouni Fofana, chef d’équipe sur Borgou-Mandouri : «Nous ne nous plaignons de rien»
«L’équipe dont je suis responsable est l’une des deux qui forment la section Topographie du chantier Borgou-Mandouri. Nous occupons une place essentielle dans l’exécution de ce projet routier. Notre travail consiste à veiller au respect des quotas demandés dans le terrassement et de la géométrie de la route. Il commence en même temps que le début des travaux. Nous avions entamé les activités topographiques depuis le 5 novembre 2013 c’est-à-dire à la date de l’ouverture du chantier. Celles-ci prennent fin avec le bouclage des travaux. Nous sommes donc en aval et en amont du chantier. Nous bénéficions de toute l’attention dans l’accomplissement de notre mission. Nous ne nous plaignons de rien sur ce chantier. Chacune des deux équipes de la section Topo mène ses activités dans d’excellentes conditions de travail.
Que ce soit les moyens de locomotion ou la logistique, rien ne nous manque. Nous sommes des travailleurs comblés. Des outils performants et des appareils de pointe sont à notre disposition. Cela nous permet de répondre convenablement toutes les attentes liées à la construction de cette voie».
Propos recueillis par JE
Quels les efforts fait par l’entreprise pour améliorer le salaire des employés au Togo en ses moment de crise?