Le Gabon a franchi un nouveau cap dans sa marche vers la modernisation de ses infrastructures. Le Vice-Président du Gouvernement, Alexandre Barro Chambrier, a officiellement lancé, jeudi 11 septembre 2025, les travaux d’aménagement et de bitumage de la route Yombi-Mandji-Omboué, d’une longueur de deux cent quarante-quatre (244) kilomètres.
La cérémonie, marquée par la présence de hautes autorités, dont le Président de l’Assemblée nationale, Jean-François Ndongou, et le Gouverneur de la Ngounié, a symbolisé la détermination du Président de la République, Brice Clotaire Oligui Nguéma, à désenclaver durablement l’Ogooué-Maritime et à renforcer l’interconnexion avec la Ngounié. Ce projet n’est pas un acte isolé. Il illustre la vitalité d’une politique nationale inscrite dans la durée et trouve, dans le partenariat avec le Groupe EBOMAF, un levier de concrétisation à la hauteur des ambitions du pays.
Dans un élan unanime, les acteurs locaux et nationaux ont salué cette initiative, incarnation de la vision présidentielle d’une modernisation ambitieuse des infrastructures. Sous un ciel chargé d’espoirs, le ministre des Travaux publics et de la Construction, Edgard Moukombi, a rappelé que ce projet structurant porte l’engagement ferme du Chef de l’État à moderniser le réseau routier gabonais en s’appuyant sur un leader africain des grands travaux : EBOMAF, dont l’expertise et la notoriété sont unanimement reconnues.
Le chantier de la route Yombi-Mandji-Omboué, dont l’exécution est prévue sur quarante-huit (48) mois, dépasse la simple réalisation technique d’une route à bitumer. Il s’agit d’un projet d’envergure qui impactera durablement la vie quotidienne des populations, en ouvrant des zones longtemps enclavées, en rendant les déplacements plus fluides et plus sûrs, et en stimulant une économie locale jusqu’ici freinée par l’absence de routes modernes.
Voilà encore lancé un chantier majeur visant à désenclaver des localités isolées, à améliorer la circulation et la sécurité routière, à stimuler le commerce local grâce à une meilleure accessibilité et à fluidifier les échanges économiques. Les bénéfices attendus de cette réalisation sont considérables.
Derrière ces perspectives se tient la solidité d’une alliance : l’État gabonais, qui finance entièrement les travaux, et EBOMAF, maître d’œuvre choisi pour son expertise reconnue et son savoir-faire éprouvé dans la conception et la construction de routes modernes dans plusieurs pays. Ensemble, ils donnent chair à une vision : celle d’un réseau routier gabonais moteur de développement, d’unité et d’ouverture.
L’excellence de ce partenariat se mesure à l’ampleur des moyens déployés pour relever ce défi. Environ mille huit cents (1 800) professionnels spécialisés dans les travaux routiers et six cents (600) engins seront mobilisés pour réussir cette ambition présidentielle. Elle se reflète également dans la confiance renouvelée par l’État gabonais à EBOMAF, déjà présent sur d’autres chantiers d’envergure comme l’axe Ntoum-Cocobeach ou le tronçon Lebamba-Mbigou-Molo jusqu’à la frontière congolaise. Sur ces sites.
EBOMAF a démontré qu’elle est plus qu’un exécutant : elle est un partenaire stratégique, un bâtisseur de confiance, un allié dans la transformation des territoires. « Là où EBOMAF passe, une route moderne prend place », confie avec fierté un ingénieur de terrain, résumant la fiabilité d’une entreprise qui fait du professionnalisme sa signature.
Le projet Yombi-Mandji-Omboué devient ainsi un symbole fort. Il traduit une volonté politique affirmée et témoigne d’un engagement financier courageux. C’est l’exemple d’une coopération féconde entre l’État gabonais et EBOMAF. À Yombi, Mandji, Omboué et au-delà, les populations ne voient pas seulement des bulldozers et du bitume ; elles perçoivent déjà la matérialisation d’une alliance qui œuvre pour leur avenir. Ce partenariat, fondé sur la confiance et l’excellence, offre au Gabon les routes de ses ambitions et aux populations l’espérance d’un quotidien meilleur.
JESP/JDKS/AB