Pour l’exécution des travaux Kankan-Kissidougou, EBOMAF ne fait pas dans la dentelle. La mobilisation est unanime à tous les niveaux pour aller vite et bien C’est sur cette longueur d’avance que des travailleurs motivés s’appuient quotidiennement pour relever le défi.
Rien ne semble entamer la volonté humaine, matérielle et technique de EBOMAF pour transformer, dans les délais contractuels, les cent quatre-vingt-quatorze (194) kilomètres entre Kankan et Kissidougou en une route moderne répondant aux normes internationales. Dès son lancement à la fin du mois de juin 2014, c’est avec un dévouement exceptionnel que ce premier marché, obtenu en Guinée, a été abordé.
Tous les détails du chantier ont été réglés avec maestria pour permettre un envol irréversible. Le duo, HamadoKourba-SambouMody N’Diaye, ne cesse de produire des résultats satisfaisants.
Ces deux ingénieurs auréolés de plusieurs années de métier coordonnent les activités d’un millier de personnes sur ce projet routier d’envergure censé désenclaver les régions de la Haute-Guinée, de la Moyenne-Guinée et faciliter l’accès au corridor maritime.
«Actuellement, les travaux consistent à ceux de terrassement et aux préparatifs pour la mise en place des ouvrages et des activités de revêtement. Présentement, nous sommes sur une zone qui a été intégrée dans le projet afin de garantir les mesures de sécurité pour la circulation. La pente qui va jusqu’à hauteur de trois (3) mètres doit être réduite de 7% pour répondre aux normes de la CEDEAO.
En termes de rapport temps-avancement, nous sommes en phase avec le planning et timing déjà constitués. Nous pensons pouvoir respecter nos engagements dans les délais impartis», indique ModySambou N’Diaye, directeur des travaux, au mois de mars dernier.
Les travaux battent leur plein. Personnel et matériel sont en ordre de bataille. Le volet terrassement canalise les énergies. Sous la coordination de BoukaryBonkoungou dit Karé, chef de la section Terrassement, un va-et-vient incessant de camions entre les sites d’emprunt et divers points du tronçon permet d’aboutir à une célérité dans cette activité essentielle. «La partie Terrassement du chantier se déroule normalement.
Elle est dotée des moyens nécessaires pour mener le travail convenablement. Le rythme de notre activité compte beaucoup pour l’avancée générale des travaux. Jusque-là, tout roule à merveille», soutient-il. Les fondamentaux de cet axe routier majeurs de dix(10) mètres de large sont en train d’être efficacement posés.
En définitive, après les tâches préliminaires de sa construction, sa chaussée d’une couche de base en grave bitume (GB) de dix (10) centimètres et en couche de roulement en béton bitumineux (BB) de cinq (5) centimètres.
JE
Dire que le chantier a 15 buls 10 charjeur ne sont pas constaté par les employés.Les travalleurs ne son plus motivé car,les salaire ne son pas satisfaisantent.
je tire chapeaux pour le groupe ebomaf vue les équipements de pointe de la dernière génération .si le personnel aussi répond au même critères. la guinée gagne 1de plus .oulare mohamed maintenancier centrale arobee guicopress sierra Léone.
OUI ebomaf bosse dure dans des conditions très difficile; je vous invites à encourager les jeunes et surtout les former à ses métiers, l’Afrique à besoin d’entreprise forte