Le septentrion concentre actuellement les travaux de EBOMAF-TOGO sur quatre chantiers. Chaque projet mobilise une armada d’hommes et de machines pour le mener à terme au grand plaisir des populations qui attendent impatiemment des routes modernes pour emprunter le chemin du bien-être économique et social.
Au Togo où EBOMAF a entamé son processus d’internationalisation, sa présence est marquée les travaux sur Borgou-Mandouri, Tandjouaré-Kanté, Pya-Sarakawa-Kanté, Mandouri-L’Oti-Frontière du Bénin. Le même élan avec lequel elle a brillament réalisé les projet Dapaong-Ponio-Frontière du Burkina Faso, Cinkansé-Tandjouaré, Dapaong-Borgou, se réflète sur les quatre fronts.
Dès le pont de Natchibonga, le chantier Borgou-Mandouri étale les différentes étapes de son exécution. Le terrassement et les ouvrages d’assainissement prennent le pas sur les quarante-neuf (49) kilomètres de cette infrastructure. Les bouchées doubles sont mises pour que l’enrobé s’étale très rapidement sur le tronçon. En attendant cette phase décisive, l’aménagement du prolongement de Mandouri jusqu’au fleuve L’Oti se poursuit sous de bons auspices. L’emplacement du pont de plus d’une centaine de mètres est déjà déterminé afin d’ouvrir les perspectives de son érection.
Sur la RN1, Tandjouaré-Kanté est entrepris dans la même dynamique que Cinkansé-Tandjouaré. Il ne reste que quelques tranches à réhabiliter ou à mettre aux normes à raccorder avec la grande portion déjà terminée des cent-trente (130) kilomètres. La circulation s’y effectue de plus en plus aisément. Le confort total n’est plus loin sur ce tronçon menant au corridor togolais.
L’axe Carrefour Pya-Sarakawa-Kanté étale toutes les facettes de sa modernisation dès son PK 00 avec le dégagement de l’emprise, la succession des ouvrages hydrauliques, la détermination des emprunts et l’entame du terrassement. Tout le décor est planté pour entrer de plain-pied dans la construction d’une infrastructure moderne sur soixante-deux (62) kilomètres.
JE/AB