Le lancement des travaux d’infrastructures du 11-Décembre à Koudougou, vendredi 20 janvier dernier a révélé la présence d’un fan club de EBOMAF dans la ville de Koudougou. Muni de pancartes où sont inscrits des mots de félicitations et d’encouragements à l’endroit du PDG Mahamadou Bonkoungou, ses membres, pour la plupart des élèves et des étudiants entendent soutenir le groupe dans ses activités de développement national.
L’exemplarité des travaux exécutés par EBOMAF sur les routes au Burkina Faso et dans la sous région commencent à faire l’unanimité au sein des populations. Après la mobilisation des habitants de Dédougou et de toute la région de la Boucle du Mouhoun pour se réjouir de l’attribution du marché de la Route nationale 14 ; à suite à l’adhésion des étudiants de la cité universitaire de Kossodo à Ouagadougou autour de ses œuvres de progrès ; c’est au tour de la jeunesse de Koudougou d’apporter leur soutien au Président-Directeur Général, Mahamadou Bonkoungou et son entreprise. En marge de la cérémonie de lancement des travaux d’aménagement et de bitumage des voiries de la commune dans le cadre des manifestations du 11 décembre 2012, les membres du «Fan Club EBOMAF» ont donné de la voix pour accueillir l’ouverture du chantier de la société dans la cité du «Cavalier rouge». Composés de ressortissants de Dédougou (ville natale du PDG) dans la région du Centre-Ouest, des élèves des lycées et collèges, d’étudiants de l’université de Koudougou (UK) pour la plupart ont bruyamment exprimé leur soutien au leader des BTP au Burkina Faso. Sur les pancartes qu’ils tenaient à l’occasion, l’on pouvait lire entre autres : «Vieux Bonkoungou,
on vous croît », «EBOMAF=Qualité et Satisfaction», «Route Koudougou-Dédougou, EBOMAF en avant», etc.
Premier mouvement d’appui aux activités constitué, le «Fan Club EBOMAF» de Koudougou s’est inscrit dans une dynamique de promouvoir les vertus de l’entreprenariat et de l’afro-optimisme développées par la société de génie civil de Mahamadou Bonkoungou à travers «l’excellence sur les routes africaines». Pour ce faire, les élèves et les étudiants qui forment cette association de soutien promettent de défendre l’image de cette entreprise partout où besoin se fera sentir. «Ce n’est pas de la propagande que nous recherchons par la création de ce Fan club. Nous nous sommes donnés un devoir que tout Burkinabè patriote doit exprimer par reconnaissance à un compatriote qui se distingue brillamment dans son secteur d’activités en lui témoignant, ne serait-ce que le concours moral et spirituel nécessaire à la conquête d’autres horizons. Cela permettra de susciter des émules et d’honorer davantage le pays qui en a besoin pour le décollage réel des affaires», rappelle l’un des responsables du «Fan Club EBOMAF».
L’exécution du lot I des «Travaux d’aménagement et de bitumage des voiries de la commune de Koudougou dans le cadre des manifestations du 11 décembre 2012» sera, à coup sûr, l’occasion privilégiée de rapprochement entre le mouvement de soutien et l’entreprise de BTP fondée en 1989 à Dédougou. Sur le chantier portant « aménagement et bitumage de l’axe principal du défilé », naîtra certainement un partenariat qui va aider le «Fan Club EBOMAF» de Koudougou de découvrir, sur tous les plans, l’entreprise dont les membres se sont engagés à défendre désormais les couleurs sur tous les fronts. Que ce soit au Burkina Faso ou au Togo, le Président du Groupe EBOMAF poursuit son approche de «Responsabilité sociale d’entreprise» (RSE) en tissant des liens étroits sincères avec les populations locales afin que ses activités participent réellement au développement national et à la sécurité humaine. Il en est ainsi à Lomé, à Dapaong, à Ouagadougou, à Dédougou et bientôt à Koudougou. Cette noble cause recherchée par le biais du «visage humain des affaires » semble être entendue de toute part et des mouvements se constituent de plus en plus pour témoigner cette hauteur de vue entrepreneuriale inédite en Afrique.
JE
Pour avoir passé mon enfance à Dédougou où mon père était instituteur, je sais mesurer, plus que quiconque, la témérité du PDG de EBOMAF que toute la ville appelait affectueusement Vié. Déjà, de par ses actions à l’époque, on voyait en lui l’image d’un battant. Ce n’est pas surprenant le bel avenir que se dessine pour lui. Si tout Burkinabè peut prendre l’exemple sur Vié ou donner de la voix pour le soutenir qu’il le fasse. C’est le pays qui en profite puisque j’ai exprimé de la joie légitime quand j’ai entendu que Vié est en train de rendre le Burkinabè célèbre au Togo. Je suis très fier de EBOMAF et de son PDG. Kaboré Martial, étudiant à l’UK