EBOMAF vient de franchir, samedi 12 février dernier un grand pas dans la réhabilitation du Bd du 13-Janvier à Lomé. La pose du béton bitumineux marque la fin de la construction de la chaussée. En attendant l’apothéose avec les pavés, l’éclairage et la signalisation, la coquetterie de la capitale togolaise se trouve renforcée avec cette artère flambant neuve, bien aérée et aux normes internationales.
Le Groupe burkinabè du BTP n’a pas fait dans la dentelle pour rénover la plus emblématique artère de la capitale togolaise. Dès le lancement des travaux de réhabilitation du Bd du 13-Janvier de Lomé en janvier 2011, EBOMAF ne s’est pas donné de répit. Déployant toute une armada humaine, matérielle et technique, la société a confirmé tout le bien que les observateurs du génie civil pensent d’elle. Dix mois ont suffi pour remettre cette voie très dégradée aux normes internationales et aux exigences de la modernité urbaine. Le clou du chantier est intervenu, samedi 12 novembre dernier.
Ce jour-là, le béton bitumineux est venu couronner les différentes étapes liées à cette réhabilitation. «La chaussée est terminée reste la finition avec les pavés, l’éclairage et la signalisation », confié Cheick Diarra, chef mission de contrôle GTAH/DECO. Au niveau du commissariat central de police, le rond-point de la fontaine lumineuse représente cette insigne de fluidité et d’organisation du trafic dans cette partie de la ville. La célérité des travaux, l’expertise et le savoir-faire requièrent aujourd’hui l’assentiment unanime du gouvernement togolais et de ses partenaires au développement.
C’est un regain de confiance dans la dotation en infrastructures après que le pays a été confronté à une interruption de son aide extérieure d’une part et à une défaillance criante des entreprises commises aux divers marchés de BTP. Dans leur ensemble, les usagers ne tarissent pas d’éloges. De l’admiration aux félicitations, ils sont satisfaits de la qualité de l’infrastructure. Devant une telle prouesse, tout Lomé s’interroge gaîment : «Pourquoi ne pas confier tous les travaux du pays à EBOMAF ?». Malgré cette adhésion massive à ses réalisations, le géant burkinabè se refuse toute velléité bourrasque et une volonté d’écraser ses concurrents. «Les petits projets ne sont plus notre préoccupation. Nous en avons suffisamment fait nos preuves dans cette catégorie-là. Notre ambition, c’est de se mesurer désormais dans de très grands projets avec une réelle volonté d’aider les entreprises nationales togolaises », souligne, Mahamadou Bonkoungou, PDG du Groupe EBOMAF.
Le succès de la société burkinabé canalise toutes les attentions sur elle. De la société civile à l’opposition politique en passant par les médias, les regards sont pointés sur les travaux exécutés par EBOMAF. Chacun semble attendre impatiemment un faux pas quelconque qui n’arrivera malheureusement pas. «Nous serons les premiers à tirer à boulets rouges sur cette mastodonte si la qualité des ouvrages qui sont réalisés était sujette à caution », a même déclaré le Directeur de Publication d’un journal beaucoup lu au Togo.
C’est de bonne guerre dans cet environnement de culture de bonne gouvernance. Mais il convient d’accepter maintenant que le leader des BTP a su s’entourer des moyens d’expression de l’excellence à tout égard. Il ne cesse de séduire par le sérieux régulier et permanent sur les chantiers. Et le Bd du 13-Janvier s’étale comme un gage de sa capacité à réaliser tous les grands travaux, quelle que soit leur nature. La réhabilitation de cette artère revêt un double enjeu : elle abrite les représentations ou les sièges de la plupart des organisations internationales et de grandes entreprises nationales ; elle est aussi régulièrement empruntée par le cortège présidentiel. Alors, faillir à ses travaux revient à se mettre à dos les autorités togolaises et leurs bailleurs de fonds.
Seules la conscience professionnelle et l’expertise avérée ont prévalu dans un challenge où aucune faveur ne saurait donner une longueur d’avance sur des jugements extérieurs sans complaisance. En même temps que le Bd du 13-Janvier améliore l’image de Lomé ; en même temps, elle conforte EBOMAF dans son élan de leadership au plan sous régional. Avec ce pari gagné, l’internationalisation du Groupe amorcé depuis quelques années s’auréole encore de galons plus convaincants. A travers cette rénovation, même les plus sceptiques admettent aujourd’hui la marque des grands affichée par EBOMAF dans la capitale togolaise. Les plus réticents à l’acceptation de son savoir-faire adhèrent peu à peu et sereinement à cette preuve d’abnégation et de sincérité entrepreneuriales. La pose du béton bitumineux sur le Bd du 13-Janvier a répandu, une fois pour toute, la notoriété de EBOMAF sur tout le Togo et au-delà.
A.B/J.E
VU la qualité des travaux effectué par la société EBOMAF, pourquoi ne pas confié tout
les travaux à cette dernière. Nous avons vu ce que font la société chinoise dans les enivrons de baguida
avepozo c’est de n’importe quoi disons de la CHINOISERIE comme d’habitude.
EBOMAF ? vous êtes les meuilleurs.