Aussitôt les travaux du chantier Tandjouaré-Cinkansé très avancés ; aussitôt EBOMAF se voit confiée le prolongement jusqu’à Kanté. Sur une distance de cent-trente (130) kilomètres, l’expertise de la société de Mahamadou Bonkoungou est encore sollicitée  pour réhabiliter le corridor togolais.

EBOMAF vient de prendre un nouveau pari en République togolaise. Celui d’assurer le  prolongement des travaux sur la RN 1, celle reliant Lomé aux pays de l’hinterland.  Comme sur le chantier précédent, elle va mettre, une grande partie du corridor, soit cent-trente (130) kilomètres aux normes internationales aux normes internationales. Cela revient à aménager et à construire «une voie d’une largeur de dix (10) mètres en rase campagne et de treize (13) mètres en agglomération avec une  chaussée recouverte de dix (10) centimètres de grave bitume (GB) et de cinq (5) centimètres de béton bitumineux (BB) après les différentes couches de fondation et de base». Les ouvrages d’art et d’assainissement vont être également mis au gabarit.

Depuis le début du mois de novembre, date de la signature de l’offre de service (OS),  les travaux de réhabilitation de l’axe Kanté-Tandjouaré, long de cent-trente (130) kilomètres ont bel et bien démarré. Plaçant encore la société de Mahamadou Bonkoungou au cœur du développement infrastructurel de la République togolaise. Sous la responsabilité de Rasmané Ouédraogo, directeur des travaux du chantier Kanté-Tandjouaré, tout est mis en œuvre pour envisager ce nouveau chantier dans la sérénité. Le désherbage du tracé a débuté, le personnel d’encadrement teste sa méthodologie de travail,  le dispositif de déploiement  des travailleurs et des engins est fin prêt.

L’exemplarité dans la conduite des travaux ainsi que le professionnalisme sur le chantier Tandjouaré-Cinkansé ont certainement constitué un atout majeur dans l’attribution des travaux de prolongement de la RN 1 sur cent-trente (130) kilomètres.  La qualité de l’ouvrage entre Cinkansé et Tandjouaré, dans le cadre de la mise à neuf de la principale voie d’accès du port de Lomé aux pays de l’hinterland, convainc plus d’un. Les moyens humains, matériels et techniques déployés sur le chantier ainsi que l’expertise développée sur cet ouvrage n’ont laissé personne indifférente. Avec un taux d’avancement global de plus de 50% en un si laps de temps,  l’optimise est de mise au niveau de tous les acteurs : maître d’ouvrage, mission de contrôle, entreprise adjudicataire. L’axe Tandjouaré-Cinkansé va bientôt avoir un nouveau look. C’est un tremplin pour prendre un nouvel élan dans l’exécution d’un autre projet similaire deux fois plus important.

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