L’inspection de haut niveau des travaux de la RN 14 que va effectuer le chef du gouvernement, vendredi 20 janvier 2012, intervient dans un climat de pleine évolution de ce grand projet routier national. L’ensemble des signaux du chantier est au vert et témoigne d’une symbiose dans cette avancée. La maîtrise d’ouvrage, la mission de contrôle et l’entreprise adjudicataire s’accordent sur les données qui concourent à la diligence avec laquelle la liaison Dédougou-Koudougou est procédée.
Entre sa première visite de chantier, le 20 juin 2011 et la deuxième, ce vendredi 20 janvier 2012, le Chef du gouvernement burkinabè, Beyon Luc Adolphe Tiao va être sans doute émerveillé par la physionomie convaincante d’une route moderne et modèle que prend à grands pas la Nationale 14, Dédougou-Koudougou. Les performances réalisées sur ce chantier sont formidables. Elle reflète la vitalité de l’entreprise en charge des travaux, EBOMAF, dans la conduite des travaux. Cela confirme la note de satisfaction du Premier ministre lors de son précédent passage sur cet axe : «Nous constatons agréablement ici que l’entreprise à l’ouvrage dispose des moyens humains, matériels et techniques pour exécuter convenablement les travaux. C’est ce qui fait parfois défaut à plusieurs sociétés nationales».
Six (6) après, sa remarque éblouit le chantier. Compétences en génie civil, expertise en BTP, technicité sur des grands travaux, excellence sur la route se conjuguent âprement sur cet axe de cent trente (130) kilomètres. Le dynamisme exprimé autour de ce projet routier est remarquable et réconfortant. Les indicateurs sont unanimes sur le progrès accompli. Des signes très réconfortants pour le gouvernement et ses ambitions d’équipements et d’infrastructures routiers attendent Luc Adolphe Tiao et sa forte délégation constituée entre autres de ministres et de Présidents d’institution ainsi que des Représentants des bailleurs de fonds. « Il n’y a pas cet ouvrage de grands travaux qui puissent aujourd’hui résister à la réputation et à la notoriété de EBOMAF. Elle a suffisamment entretenu la preuve de son efficacité au Burkina Faso et dans la sous région », rassure Mahamadou Bonkoungou, PDG du Groupe EBOMAF.
La présence sur le tronçon, ce vendredi 20 janvier, du chef de l’exécution offre l’agréable occasion de mesurer et d’apprécier, à leur juste valeur, les bons quantitatifs et qualitatifs effectués entre les deux (2) passages.
En douze (12) mois seulement d’exécution, les gros œuvres présente un taux global de réalisation 50 %. La construction des dalots entre Dédougou et le Mouhoun est estimée à 70 % tandis que ceux situés entre le fleuve et Koudougou ont été tous confiés à des tacherons qui s’attèle à les terminer avant fin janvier. Le terrassement a atteint le Mouhoun, à quatre-vingt (80) kilomètres de Dédougou et la voie bitumée s’étend sur plus d’une vingtaine de kilomètres. Le directeur des travaux, Mody N’Diaye, souligne avec optimisme et conviction que cet élan va à être maintenu et se renforcer pour en tenant strictement compte des impératifs de qualité et de temps.
D’ores et déjà, les grands ponts de Ténado, du Mouhoun et de Karouka, véritables chefs-d’œuvre en matière d’ouvrages d’art, présentent de très bonnes réalisations physiques. Les poutres des deux premiers sont à fabriquées, leurs appuis et leurs chevets construits. « Il faut observer un délai de résistance des poutres avant de les poser », relève l’ingénieur Mody N’Diaye.
Le pont de Karouka ou Lanfiéra est en phase terminale : dalle coulée, remblai d’accès en finition. EBOMAF a entrepris concomitamment la construction des services sociaux de base dont bénéficient les localités traversées par le projet routier sur les 130 km du tronçon. Des murs de clôture des écoles à ceux des centres de santé en passant par les forages d’eau, leur réalisation est mise en branle. De concert avec les administrations locales, l’entreprise adjudicataire a déjà entamé l’exécution des ouvrages hydrauliques. Les écoles et les services de santé en face de la voie attendent la conception liée à leurs aménagements. L’ouverture des voies d’accès aux différents villages riverains à la route construite interviendra au terme du chantier.
L’évolution des travaux sur la RN 14 requiert aux usagers des comportements propices à la bonne et sereine continuation. Le directeur des travaux, Mody N’Diaye n’hésite pas à décrier un certain incivisme lié au non respect de la signalisation portant sur les déviations prévues sur la voie. «Il arrive très souvent de voir des usagers venir emprunter la chaussée. Cet état est dangereux en ce sens que ces usagers négligeant mettent leur vie en danger et celle des autres », s’écœure l’ingénieur de Génie civil. La bicouche qui a pris appui sur Dédougou avant de s’étendre vers Koudougou a bien changé la physionomie, l’image et le visage de la cité du Bankuy. Les aménagements des voies et réseaux divers (VRD) ont précédé l’embellissement et à la maçonnerie. « Les caniveaux construits en ville permettent à la ville de Dédougou d’être propre en saison pluvieuse. L’eau n’entrainera plus à leur passage les ordures dans les cours riveraines. Le bitumage de la route est un grand ouf de soulagement pour nous habitants de la ville de Dédougou », a souligné Naziko Dakio, une habitante de la cité du Bankuy.
SB/JE
Vivement, sans hypocrisie, reconnaissons officiellement enfin au moins que cette entreprise sauve au moins la face d’un secteur incapable au Burkina Faso. Malgré tous les mensonges qui ont été colmaté sur le dos de son PDG par pure méchanceté, la réalité est là sur la route Koudougou-Dédougou. Décidément, je suis fier et très de Vié. Le 1er ministre n’a qu’à avoir le courage de dire à la belle mère national de chercher à ressembler à son compatriote Mahamadou Bonkoungou et les BTP iront pour le mieux. Pourquoi EBOMAF ne tombe pas ou d’arrête pas ses travaux:
1°) Parce qu’il est lui même aller à l’école, bachelier de son niveau;
2°) Parce qu’il n’a pas été pas fabriqué, il n’a fait que suivre les pas de son père;
3°) Parce qu’il a pris le temps de bâtir son entreprise, de nourrir ses ambitions;
4°) Parce qu’il a su intelligemment se constituer au fur et à mesure du matériel et de la tecchnique;
5°) Parce qu’il a su entretenir des relations de fidélité avec ses employés dont certains sont avec lui depuis la création de son entreprise;
6°) Par ce qu’il paie bien ses travailleurs et cultive un esprit de famille avec ses employés;
7°) Parce que Vié est profondément humain et sauve beaucoup d’hommes et de femmes sous plusieurs aspects sans crier sur tous les toits;
8°) Parce que Mahamadou est un homme de parole qui respecte ses engagements et sait maintenir des relations de confiance basée sur le mérite. Il est l’un des rares hommes d’affaires burkinabé à ne pas souffrir de poids de dette vis_à-vis des banques et des particuliers,
9°)Parce qu’il a la bénédiction de ses parents et de toute la boucle du Mouhoun sa région pour laquelle il se bat;
10°) Parce qu’il ne baisse jamais les bras. Vié est un battant tant que le combat est loyal il affûte ses armes.
Tous les entrepreneurs doivent aller à son école. Le succès en affaires de Vié a une histoire qui pourrait inspirer contrairement à ce que se raconte comme ragots. Alors Luc Adolphe Tiao ose conseiller aux fossoyeurs du pays à travers le bâclage des travaux de prendre exemple sur cette icone qui a entrepris de faire la fierté de son pays à l’extérieur après en avoir fait sur place.Koudougou-Dédougou est la preuve que EBOMAF peut réaliser tout ce qu’on lui demande sur n’importe quelle route.
TON AMI D’ENFANCE DEMBELE LASSINA, ALIAS TALBI, COURAGE VIE
Bonjour. Si vous nous re9sumiez les travaux de la atrverse9e de Gonfaron nous pourrions nous rendre compte d ici. je pense que vous serez la avec votre appareil photo.! Grand merci et bonne journe9e
MAGALI Achenar dit :Merci de de9voiler vraiment la clef de re9ussite de cette entirprese qui ne cesse de surprendre agre9ablement. Avec une telle vision, e7a vaut vraiment le coup d’eatre e0 ce niveau apre8s 23 ans de durs labeurs, de sacrifice et de savoir faire re9gulier. En tant que marocain et africain, je me sens vraiment fier de ces exemples qui donnent du baume au coeur et nourrit la jeunesse de9sempare9e dans l’espoir. On peut re9ussir sur place en Afrique pour peu que l’on paie le prix c’est-e0-dire emprunter la voie de l’excellence sans fle9chir. Courage PDG!