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Axe Dédougou-Koudougou: Le terrassement atteint le fleuve Mouhoun


L’activité liée à la bicouche repose sur le terrassement qui enregistre des pas de géant. Comme préalable à la construction effective de la voie, ce volet est pris à bras-le-corps par l’ensemble des conducteurs du chantier. Cette synergie dans l’action révèle toute la conduite de main de maître du Projet de la RN14.

Conscient de sa tâche dans les maillons du chantier Koudougou-Dédougou, le chef de la section terrassement des travaux, Seydou Bonkoungou et ses hommes jouent à fond leur partition. Dans cette lancée, le chef de la section terrassement, il se veut rassurant : le volet qui lui incombe est à moins d’une dizaine de kilomètres du fleuve Mouhoun c’est- à-dire à environ quatre vingt cinq (85) km de Dédougou. La section terrassement dispose du matériel nécessaire lié à sa mission.

La réussite du planning de boulot que s’est imposé EBOMAF l’a amené à adopter un certain nombre de mesures pour créer à proximité du lieu de travail. Tous les travailleurs de la section terrassement louent l’initiative qui a consisté à leur trouver un logis approprié sur place dans la commune rurale de Tchériba, point de chute de la bicouche avant fin janvier. « Ce regroupement en un endroit si proche de notre zone d’intervention facilite le travail de notre section. Nous sommes tous, bien logés à Tchériba. Et pour joindre l’utile à l’agréable, un restaurant propre aux employés est fonctionnel et leur fourni deux repas par jour. Cette bienveillance motive tout le monde», soutient Seydou Bonkoungou, chef de la section terrassement.

Seul l’éloignement du point d’eau semble être l’une des difficultés à ce volet étant donné que cette réalité cause souvent de grands retards sur le chantier. Face à cet handicap apparent, les responsables de l’entreprise ont imaginé des alternatives pour des palliatifs et ne lésinent pas sur les moyens pour aller chercher l’eau là où elle est disponible. Des camions-citernes effectuent des va-et-vient sur une trentaine de kilomètres pour chercher l’or bleu. Dès qu’un point d’eau a été découvert à quelques encablures de Tchériba, une piste a été aussitôt aménagée pour les besoins de la cause.

A la suite de la revue du chantier en juin 2011 par le chef du gouvernement, Beyon Luc Adolphe Tiao, plusieurs reformes ont été opérées pour tenir compte des observations formulées par cette délégation de haut niveau. Le directeur des travaux, Mody N’Diaye, explique qu’après ce passage, EBOMAF a considérablement renforcé le matériel, le personnel technique et d’encadrement ainsi que procédé à une redéfinition de son mode d’organisation du chantier. Malgré l’arrêt du chantier pour une période de deux mois pendant l’hivernage, les avancements constatés actuellement sont spectaculairement remarquables sur le terrain. Et l’entrain augure un rythme satisfaisant au sein du groupe dont les maillons ne se donnent aucun répit.

SB/JE




7 thoughts on “Axe Dédougou-Koudougou: Le terrassement atteint le fleuve Mouhoun

  1. Mien Victorien

    Je viens d’effectuer le tronçon tout dernièrement et j’avoue que ce qui est vraiment en construction me fascine. C’est tout simplement du cent à l’heure! Courage, le bout de tunnel n’est pas loin. Le mouhoun est à 80 km et il ne reste que 50 Km pour boucler. Félicitations et bonne continuation.

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  2. Ahraf

    Benfa DIAKITE dit :Vie9 est un vrai battant et tout De9dougou le sait. Qu’on le veilule ou pas, il va relever le de9fi de cette route Koudougou-De9dougou. Ceux qui ont passe9 le temps e0 mentir que Vie9 a fui n’ont qu’e0 venir parler maintenant. La re9alite9 est le0 devant nous. Le travail bat son plein et la voie se trace normalement. Seul Dieu sait recompenser les hommes honneates. Et pour ce que Vie9 a fait pour De9dougou, Dieu ne va pas le laisser tomber. Inchallah!

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    1. Jhade

      RIMET Jean Marie, Consultant en de9veloppement dit :Ce premier itnismre burkinabe8 a l’avantage d’eatre franc. Il exprime son opinion quel que soit ce qu’en pensera ses compatriotes. Il faut encourager les beaux exemples de re9ussite. C’est aussi le rf4le des dirigeants et des gouvernants. Pour nous qui empruntons re9gulie8rement cette voie, il y a vraiment des raisons de jeter des fleurs e0 l’entrepreneur. Il tient le pari. Luc Adoplhe Tiao n’a fait que traduire en toute since9rite9 ce que tout Burkinabe8 e9prouverait comme fierte9 devant un ouvrage qu’une multinationale montrerait des signes d’incapacite9 e0 re9aliser. Chers Africains, reconnaissez de plus en plus les me9rites des uns et des autres dans vos pays. C’est la seule fae7on d’entretenir la saine e9mulation, de ne pas de9courager ceux qui se battent re9ellement. JEAN MARIE RIMET, CONSULTANT EN DEVELOPPEMENT

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      1. Rahul

        Be9libie9 Yaro, Inge9nieur des TP, ressortissant de Te9nado dit :Il faut que le gneuernvmeot apprenne e0 noter les entreprises de BTP en fonction de leur capacite9 e0 re9aliser qualitativement et dans les de9lais les travaux qui leur ont e9te9 confie9s. Le boulot abattu par EBOMAF entre Koudougou et De9dougou est une source de fierte9 pour tout Burkine9be8. Et le gneuernvmeot vient de le reconnaeetre par cette visite du premier ministre. Alors il faut avoir le courage d’attribuer e0 cette socie9te9 nationale une certification nationale qui la distingue des autres. Cela lui permettrait de mieux de9fendre l’expertise burkinabe8 en matie8re de BTP e0 l’e9tranger. Le ministre jean Bertin Oue9draogo doit y re9fle9chir. Son pre9decesseur avait de9je0 initie9 SOKOYAN et EBOMAF s’en est sorti avec un prix. Il faut laisser tomber les mesquineries et encourager les entrepreneurs qui travaillent se9rieusement. Comparez un peu la RN 14 et celle Ouaga-Kongoussi, il y a de quoi tirer son chapeau e0 EBOMAF. En moins d’un an, les ponts entre Koudougou et De9dougou sont de9je0 termine9s pendant ce temps Fadoul est incapable de finir l’unique pont de l’axe Kongoussi qui continue de tuer. Et ce9rise sur le gateau, c’est e0 lui que l’on donne le barrage de samande9ni. C’est dommage. Le gneuernvmeot a le devoir de promouvoir les entreprises nationales performantes e0 l’inte9rieur et e0 l’exte9rieur du pays. Et since8rement EBOMAF le me9rite. J’en suis convaincu jusqu’au bout apre8s avoir vu le chantier de la RN 14. Je vais jusqu’e0 dire que si on avait confie9 la re9habilitation de la route de Bobo e0 cette entreprise, le scandale n’aurait pas survenu.Be9libie9 Yaro,Inge9nieur des TP, vingt-cinq ans de me9tier

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    2. Christian

      SOME Bertrand, e9tudiant e0 Ouagadougou dit :C’est bien vu Mr Nama: un grand n’est pas un petit et il faut honneatement conce9de9 cet atout e0 EBOMAF. Since8rement, il a mis le paquet pour isesoar de re9elles assises de sa socie9te9.

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      1. Mythri

        Modeste SANGUISSO, usager du trone7on Koudougou-De9dougou dit :Petit e0 petit, l’oiseau fait son nid. C’est le moins que l’on pussie dire en admirant le travail qui est abattu actuellement sur la route Koudougou-De9dougou. Plus rien ne peut arreater ce projet qui a vraiment amorce9 la phase de9cisive de sa construction. Cela met du baume au coeur de tout usager de la voie. Courage encore, un peu de de9termination et le grenier national sera de9senclave9. Merci au gouvernement, merci e0 EBOMAF!

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        1. Kavuri

          dit :RIMET Jean Marie, Consultant en de9veloppement dit :Ce premier itnsimre burkinabe8 a l’avantage d’eatre franc. Il exprime son opinion quel que soit ce qu’en pensera ses compatriotes. Il faut encourager les beaux exemples de re9ussite. C’est aussi le rf4le des dirigeants et des gouvernants. Pour nous qui empruntons re9gulie8rement cette voie, il y a vraiment des raisons de jeter des fleurs e0 l’entrepreneur. Il tient le pari. Luc Adoplhe Tiao n’a fait que traduire en toute since9rite9 ce que tout Burkinabe8 e9prouverait comme fierte9 devant un ouvrage qu’une multinationale montrerait des signes d’incapacite9 e0 re9aliser. Chers Africains, reconnaissez de plus en plus les me9rites des uns et des autres dans vos pays. C’est la seule fae7on d’entretenir la saine e9mulation, de ne pas de9courager ceux qui se battent re9ellement. JEAN MARIE RIMET, CONSULTANT EN DEVELOPPEMENT

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