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Voiries et Réseaux divers de Lomé au Togo : EBOMAF rénove le boulevard du 13-Janvier


Le savoir-faire de la société burkinabé de Bâtiments & Travaux Publics, EBOMAF SA, a si bien convaincu le gouvernement togolais qu’il a décidé d’établir avec cette entreprise un partenariat qui valorise à la fois l’intégration ouest-africaine et l’expertise sous régionale. C’est dans une confiance mutuelle portée sur les fonts baptismaux en septembre 2010 à Dapaong que s’inscrit l’attribution du marché d’un des plus grands projets urbains de la ville de Lomé.

Il s’agit des travaux de rénovation, de recalibrage, de recalage et d’élargissement du Boulevard du 13-Janvier ainsi que du bitumage de la voie Agoè BKS-Carrefour Caméléon-Limousine-Adidoadin-Camp d’Adidogomè, lancés, mardi 18 janvier 2011, en présence de plusieurs hautes personnalités de la République dont le Chef du gouvernement, Gilbert Fossoun Houngbo.

La capitale togolaise, Lomé, se lance dans de vastes chantiers de voiries et de réseaux divers (VRD) pour se donner une peau neuve. La municipalité et le gouvernement sont en train de conjuguer leurs efforts pour rattraper le grand retard enregistré dans l’aménagement et le bitumage des voies ainsi que l’évacuation des eaux pluviales. Dans cet élan de relookage urbain, les autorités togolaises ont misé sur le savoir faire du groupe burkinabé, EBOMAF SA, pour réaliser les travaux de réhabilitation, de renforcement, d’assainissement du Boulevard du 13-Janvier et de bitumage de la voie Agoè BKS-Carrefour Caméléon-Limousine-Adidoadin-Camp d’Adidogomè.

L’exécution de ces deux projets est évaluée à vingt (20) milliards F CFA. Elle devrait durer douze (12) mois, délai de livraison des ouvrages. Les travaux entièrement conduits par l’entreprise burkinabé sont placés sous le contrôle et la surveillance du groupement de consultants maliens et togolais GTAH/DECO. « Cet appel d’offres international que EBOMAF SA vient encore une fois de remporter au Togo participe de notre vision de conquérir des parts de marchés au-delà des frontières nationales.

Au carrefour du donner et du recevoir commandé par la mondialisation et les espaces sous régionaux, le Burkina Faso peut tirer son épingle du jeu en misant sur des services de qualité compétitifs et des prestations de pointe tels les BTP. C’est cette dynamique que nous essayons d’insuffler chaque jour à notre entreprise : le souci régulier et permanent de la performance et de la qualité », relève Mahamadou Bonkoungou, Président-Directeur Général (PDG) du Groupe EBOMAF SA. En effet, le Togo sonne désormais l’expression de l’ambition sous régionale de cette entreprise burkinabé intervenant dans les domaines du Génie civil (routes, ouvrages d’art, assainissement), de l’hydraulique (aménagement hydro-agricole), du Bâtiment (construction et réhabilitation) et du Commerce général (importation d’engins de travaux publics, de camions, de tracteurs agricoles et de vente de matériel, de matériaux de construction). Après Dapaong au Nord et Kara au Centre, voilà EBOMAF SA à Lomé au Sud pour des infrastructures routières de premier plan.

Dès le lancement des travaux, mardi 18 janvier, la force de frappe de EBOMAF SA s’est étalée tout au long du Boulevard du 13-Janvier.

Le premier projet portant sur le Boulevard du 13-Janvier illustre toutes les attentes de modernité urbaine des autorités togolaises. Elles n’ont pas lésiné sur les moyens pour déguerpir les riverains et autres occupants anarchiques de cette artère qui ceinture la vieille ville afin de permettre l’exécution diligente des travaux. « Cet axe représente une grande importance pour la capitale togolaise. Le Boulevard va être réhabilité pour accueillir une artère à trois voies de chaque côté. Les sociétés de travaux publics doivent donc pouvoir travailler. Beaucoup de petits commerces qui étaient installés au bord de la route n’ont jamais eu d’autorisation », a expliqué un représentant de la municipalité après que l’ultimatum de trois mois des élus locaux eut expiré.

A ouvrages ambitieux, société de notoriété reconnue

Le chantier du boulevard du 13-Janvier vise à améliorer le trafic routier urbain et à assainir l’environnement dans le centre ville. Longue de 5,2 kilomètres, le premier tronçon de route à bitumer commence au croisement entre l’ancien palais de la présidence et le Boulevard de la République, et se termine au début du Boulevard du Mono. Les travaux intègrent aussi la construction d’un carrefour à sens giratoire, la réalisation de terres-plains centraux et de caniveaux pour le drainage des eaux de pluie, ainsi que le pavage de la zone aménagée. EBOMAF SA a aussi en charge les travaux d’éclairage public, de signalisations horizontale et verticale, le déplacement de réseaux, la réalisation de carrefours et d’amorce de rues latérales.

Le second ouvrage placé sous sa coupe est relatif au bitumage d’un tronçon de 6,465 kilomètres : la voie urbaine d’Agoè Nyévé et une route transversale la reliant à une autre, pénétrante de la route nationale N°1 (Lomé-Atakpamé et la pénétrante à Adidogomè de la route nationale N°5 (Lomé-Kpalimé) en passant par les agglomérations de BKS, Caméléon Limousine, Adidoadin et Avédji. « Une fois terminés, ces ouvrages vont améliorer et changer véritablement le visage de Lomé. Il n’y a aucun doute que l’entreprise commise à la tâche va gagner ce challenge de l’urbanité. Nous avions entendu parler de son savoir faire dans ce domaine aussi bien au Burkina Faso qu’actuellement dans le Nord-Togo.

Un simple regard sur le matériel déployé pour ce lancement des travaux rassure plus d’un », se convainc Yvon Ekué, un jeune étudiant. Fidèle à sa démarche d’autonomiser chaque chantier, la société burkinabé a déjà déployé une armada de techniciens et d’engins dans la capitale togolaise pour réussir cette nouvelle aventure.

A travers ces deux projets urbains d’envergure, le gouvernement de Faure Essozimna Gnassingbé donne le ton de sa volonté de mise en œuvre de la politique d’assainissement de la ville de Lomé notamment dans son aspect de drainage des eaux de pluie, à travers des caniveaux couverts de dalles. Les travaux en cours sont envisagés dans le cadre d’un vaste processus de rénovation des voiries et réseaux divers de la capitale. « Le drainage du Boulevard sera parfaitement assuré de bout en bout par des caniveaux et dalots en béton armé de sections conséquentes pour permettre une évacuation efficace des eaux pluviales vers la lagune et la mer. Des signalisations horizontales et verticales ainsi que l’éclairage public seront entièrement repris avec des normes d’actualité pour une plus grande sécurité des usagers », a souligné Kanfitine Tchédé Issa, Directeur Général des Travaux publics. Il reste confiant que ce défi sera aisément relevé par EBOMAF SA étant donné que cette société a déjà fait la preuve de son expertise dans le domaine de l’assainissement dans l’aménagement de la Zone d’Activités Commerciales et Administratives (ZACA).« Les défis sont certes énormes mais notre société est très aguerrie pour effectuer avec brio ces types d’ouvrages », rassure Jean-Claude Roche, Directeur Technique de EBOMAF SA. En termes de données chiffrées, les travaux du boulevard du 13-Janvier de Lomé, c’est 20 900 mètres de bordure, 60 600 mètres carrés de pavé, 108 000 mètres carrés de chaussée, 10 000 mètres de caniveaux couverts de dallettes, 350 mètres de dalots, 35 000 mètres linéaires de bandes blanches de peinture, 220 panneaux, 10 feux tricolores et 150 candélabres (lampadaires) à deux branches installés dans le terre-plein central.

Alcide NATHAN


Totale confiance à l’expertise burkinabé

Par le Togo, le Groupe EBOMAF entreprend en toute sérénité son expansion sous régionale. En attendant l’aboutissement heureux des appels d’offres auxquels il a pris part au Bénin et au Niger, la griffe du fleuron burkinabé des BTP s’impose avec force admiration dans les principales villes (Dapaong, Kara, Lomé, …) du pays de Faure Gnassingbé après des compétitions internationales âprement disputées. « C’est ma modeste contribution au rayonnement extérieur de mon pays et à la mobilisation des ressources pour mieux participer à son développement », explique le PDG Mahamadou Bonkoungou. Dans les ouvrages hydrauliques, hydro-agricoles, immobiliers ou routiers, la fierté de l’expertise venue de la « Terre des Hommes intègres » s’exprime avec admiration.

La primauté du savoir faire, le souci de la qualité et la quête de l’excellence sont parvenus à cultiver les gages d’un partenariat privilégié pour l’Etat togolais. « Le choix de EBOMAF au Togo est loin d’être fantaisiste », a soutenu le 1er septembre 2010, Tchandja Andjo, le ministre des Travaux Publics au lancement du chantier Dapaong-Frontière du Burkina Faso. Une telle précision s’avère nécessaire dans la mesure où les marchés arrachés par le Burkinabé résultent d’une sélection minutieuse opérée parmi de grosses pointures des BTP d’horizons divers par les services techniques togolaises sous la vigilance des bailleurs de fonds.

L’attribution des deux grands projets urbains à l’entreprise burkinabé des Bâtiments et travaux publics, EBOMAF SA, confirme sa force de frappe pour jouer dans la cour des grands. Les spécifications techniques et les configurations des ouvrages à ériger témoignent à la fois de ses capacités financières et matérielles, des compétences techniques et humaines, … En somme les forces réelles et convaincantes de toute entreprise ambitieuse : l’expérience et de l’expertise sur lesquelles se fonde la société burkinabé pour réaliser des travaux si exigeants et à la complexité indéniable.

A.N.


Les deux projets urbains sous l’angle technique

L’aménagement du Boulevard du 13-Janvier porte sur :
• Une double chaussée en 2X2 voies de 7 m de large chacune à partir du croisement avec le boulevard du Mono à Kodjoviacopé jusqu’à la Banque Populaire et en 2X3 voies de 10.5 m de large chacune à partir de la Banque Populaire jusqu’au croisement avec le boulevard du Mono au niveau de l’ancien Restaurent la Pirogue (actuel Restaurant Festival des Glaces). La chaussée double sera bordée de caniveaux sous trottoirs de largeur variant de 2 à 6 avec un terre-plein central supérieur ou égal à un mètre.

• Une couche de fondation en sable silteux stabilisé au ciment sur une épaisseur de 20 cm surmontant la chaussée existante préalablement recyclée

• Une couche de base en gave bitume d’une épaisseur de 10 cm

• Un revêtement en béton bitumineux d‘une épaisseur de 5m.

Pour son bitumage, il est prévu pour la voie urbaine d’Agoè Nyévé :
• Une double chaussée de 2X2 voies de 7 m de large chacune. La double chaussée sera bordée de caniveaux sous trottoirs de largeur supérieure à 2 m avec un terre-plein central de largeur également supérieur à 1 m

• Une couche de forme en sable silteux

• Une couche de fondation en sable silteux stabilisé au ciment sur une épaisseur de 20 cm

• Une couche de base en grave concassée de 0/31.5 d’épaisseur 15 cm

• Un revêtement n béton bitumineux sur 5 cm d’épaisseur. Tous ces ouvrages sont exécutés en plus de ceux relatifs à l’assainissement dont les spécifications sont définies pour chaque projet.

Source : DGTP/Togo



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